Immense tristesse à l’annonce, redoutée à cause de la connaissance qu’on avait de sa maladie, de la mort de Wolfgang Rihm. L’écoute de sa musique a occupé concrètement et, quand ce n’était pas le cas, mentalement, le quotidien de ces dernières décennies sans avoir personne avec qui en parler. Et, bien sûr, on n’en parlera publiquement pas davantage…
André Hirt
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